Dans les Médias

Transition et Rupture

Nous continuerons de déployer les efforts pour convaincre ceux qui sont supposés être nos partenaires de l’urgence et de la nécessité de renforcer cette alternative plutôt que de se préparer à des élections aléatoires. Entre-temps, en tant que parti, nous continuons d’œuvrer dans le sens du renforcement de l’alternative et nous invitons les citoyens et les citoyennes prêts à prendre leurs responsabilités à nous soutenir et à nous rejoindre.
/par Mounir Doumani

Quelle laïcité pour le Liban? Interview avec Charbel Nahas

Aujourd’hui cette crise est un défi et une opportunité pour mettre fin au régime de l’association de chefs de milice communautaire et instaurer un état qui prenne en compte la réalité de la société
/par Mounir Doumani

L’explosion du Covid se conjugue avec les effets d’un effondrement économique et politique

/par Mounir Doumani

Charbel Nahas : «Dissocier l’économie de la politique est absurde»

MMFD est le seul mouvement politique à offrir une vision d’avenir, alors qu’actuellement, les Libanais souffrent sans voir de lumière au bout du tunnel. Notre projet donne un message d’espoir qui justifierait les sacrifices que chacun devra faire, à des degrés variables, dans le cadre de la répartition équitable des pertes. Un tel gouvernement serait le premier à tirer sa légitimité de ses fonctions et de son programme, et non du sang versé par les guerres et les assassinats politiques.
/par Mounir Doumani

La plongée de Macron dans le marais libanais

Après le traumatisme de l’explosion du 4 août à Beyrouth, le Liban est devenu un dossier majeur de la diplomatie macronienne. En appelant le pays du Cèdre au changement politique, le président français a séduit les foules, puis il s’est heurté au pouvoir d’inertie du système libanais.
/par Mounir Doumani

Charbel Nahas: S’adapter équivaut à accepter la crise [ARA SUB]

Interview de Charbel Nahas sur France Culture. 16 Octobre 2020
/par Mounir Doumani

Sortir le Liban de l’ornière

Cela relève de la motivation, de la justification de l’action. Nous disons par conséquent que l’État traitera avec les citoyens, les citoyennes et les résidents non libanais, indépendamment de leur appartenance communautaire. Mais il tolérera qu’individuellement, ces personnes choisissent, à titre exceptionnel, de réclamer que leur relation à l’État soit intermédiée par une institution communautaire.
/par Mounir Doumani

Céder à la tentation collective d’exister

Plus la confiance dans l’État a été faible, plus les actions de terrains ont été déterminées. Sans pour autant être déterminantes. Si elles ont permis à beaucoup de tenir ou d’espérer, elles n’ont pu freiner la pollution de cette mer où nous ne pouvons plus mettre le pied. Ni celle de l’air que nous ne pouvons plus respirer. Elles n’ont pas empêché le grignotement de ce territoire lépreux que nous laisserons en héritage à nos enfants. Ni l’anéantissement de Beyrouth. Pour légitimes et utiles qu’elles soient, ces actions n’ont pas pour autant la capacité d’avoir un impact systémique sur un pays qu’elles tentent de sauver malgré lui.
/par Mounir Doumani

Liban : tout reprendre à zéro avant que tout ne sombre

Pour l’écrivaine Dominique Eddé, il faut profiter de l’affaiblissement des forces politiques corrompues pour refonder le pays et développer les infrastructures. Elle compte sur le parti Citoyens, citoyennes dans un Etat pour mener au plus vite ce travail de la dernière chance.
/par Mounir Doumani

Charbel Nahas: Tout accord imposé de l’extérieur finira par un drame

/par Mounir Doumani

Liban: «Une négociation américano-iranienne se déroule en coulisse»

Nous essayons de faire émerger une alternative radicale et structurée. Nous discutons avec des généraux à la retraite pour avoir une voix qui freine un engagement possible de l’armée dans un arrangement sécuritaire. Car elle est composée de recrues des différents chefs communautaires et pourrait, en cas d’instrumentalisation, se trouver en position d’éclatement.
/par Mounir Doumani

Le Liban peut-il sortir de la crise ?

le fonctionnement du système reposait sur l’accumulation permanente de capitaux qui s’enregistraient comme des créances financières, que ce soit sous forme de dépôts bancaires ou de titres de propriété foncière et immobilière, afin de faire croire que l’on disposait d’argent alors même qu’on le dépensait puisqu’il était intégralement prêté domestiquement au privé comme à l’État, par l’entremise de la Banque centrale, pour financer la consommation et le déficit extérieur
/par Mounir Doumani