Dans les Médias

Le Liban peut-il sortir de la crise ?

le fonctionnement du système reposait sur l’accumulation permanente de capitaux qui s’enregistraient comme des créances financières, que ce soit sous forme de dépôts bancaires ou de titres de propriété foncière et immobilière, afin de faire croire que l’on disposait d’argent alors même qu’on le dépensait puisqu’il était intégralement prêté domestiquement au privé comme à l’État, par l’entremise de la Banque centrale, pour financer la consommation et le déficit extérieur
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L’impossible aide de la France au Liban

« Il n'y a pas d'État au Liban », souligne l'économiste Charbel Nahas, l'une des figures de la contestation. « Le vrai système est une sorte de coopérative de chefs de guerre qui ont organisé entre eux un système de veto réciproque
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Charbel Nahas : « Il existe une alternative face au communautarisme »

Je pense que le combat que nous menons a une portée domestique, régionale et pointe des enjeux qui touchent le monde entier.
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Liban : «Ils se sont gavés, et c’est nous, le peuple, qui payons le prix de leur voracité»

L’écrivaine libanaise Hala Moughanie dénonce l’incurie de la classe politique du pays, qui s’appuie sur le système confessionnel pour conserver ses avantages.
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Suicides, faillites, licenciements… Le Liban précipité dans l’abîme

M. Nahas dénonce un « système composé de chefs communautaires de toutes obédiences, des banques et du gouverneur de la banque centrale, prêt à détruire la société » pour assurer sa survie. Il prédit un appauvrissement sidéral, un risque de violences et une émigration massive. Des Libanais ont déjà fait leurs valises.
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Charbel Nahas à RT France: «Nous ne sommes pas au bord de la faillite, nous sommes en plein dedans»

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La crise au Liban : opportunités et responsabilités

Tout le système politico-économique en place depuis le milieu des années 1980 s’effondre aujourd’hui, après une agonie prolongée. Le choc économique a été longtemps reporté. Il a été clairement annoncé mais s’est heurté au déni une fois advenu. Entre 2005 et 2014, après avoir épuisé les effets revigorants de la conférence de Paris II, le système financier avait surmonté la longue phase des tensions politiques, la guerre de 2006 et la dévastation en Syrie du fait de la montée des prix du pétrole et de l’afflux massif de capitaux.
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Crise, choix et priorités

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Construire le Liban d’après

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Liban : la crise n’est pas une fatalité

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Une faillite, mais un moment historique

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Charbel Nahas: «Le Liban paye des décennies d’illusions»

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